En construction depuis de long mois, l'ouverture du futur Datacenter de la NSA vient d'être retardée d'un an.
Si l'on en croit différentes sources, l'installation dans l'Utah souffre de graves problèmes électriques, qui causent la destruction de nombreux matériels informatiques...
Le Monde Informatique, référence s'il en est, parle de pas moins de 10 situations de crise au cours des 13 derniers mois, dans ce projet de Datacenter; en s'appuyant sur les déclarations du Wall Street Journal.
Dans tout autre circonstances, l'échec de la réalisation de ce méga centre de traitement passerait pour gravissime et de nature à freiner l'avènement des technologies de l'information. Dans le cas présent, ce méga datacenter est tout entier dédié à l'écoute, le stockage et le traitement des données issues des programmes PRISM.
Cela signifie, en d'autres termes, que la NSA disposera sous peu d'une capacité de stockage presque infinie, alors que jusqu'ici les mesures d'espionnage étaient limitées aux données les plus récentes, faute de capacité de stockage suffisantes pour examiner les données les plus anciennes.
Il paraît bien évident que les pharaoniques capacités de stockage sont associées à une puissance de calcul rarement atteinte, sinon pourquoi l'installation consommerait-elle 65 MW par mois ? Il y a fort à parier que toute cette puissance sera toute dévouée à casser les clés de cryptage, avec l'objectif sournois d'en connaître un peu plus sur la vie privée des internautes.
TechCrunch reporte que "La NSA a mis en oeuvre bon nombre de systèmes pour le balayage, l'interception et l'analyse de données, en incluant toutes formes de communication, le contenu intégral des emails, les appels cellulaires, les recherches internet, aussi bien que toutes les données personnelles, comme les tickets de parking, les itinéraires de voyage, les achats de livres et autres médias digitaux"
Dans tout autre circonstances, l'échec de la réalisation de ce méga centre de traitement passerait pour gravissime et de nature à freiner l'avènement des technologies de l'information. Dans le cas présent, ce méga datacenter est tout entier dédié à l'écoute, le stockage et le traitement des données issues des programmes PRISM.
Cela signifie, en d'autres termes, que la NSA disposera sous peu d'une capacité de stockage presque infinie, alors que jusqu'ici les mesures d'espionnage étaient limitées aux données les plus récentes, faute de capacité de stockage suffisantes pour examiner les données les plus anciennes.
Il paraît bien évident que les pharaoniques capacités de stockage sont associées à une puissance de calcul rarement atteinte, sinon pourquoi l'installation consommerait-elle 65 MW par mois ? Il y a fort à parier que toute cette puissance sera toute dévouée à casser les clés de cryptage, avec l'objectif sournois d'en connaître un peu plus sur la vie privée des internautes.
TechCrunch reporte que "La NSA a mis en oeuvre bon nombre de systèmes pour le balayage, l'interception et l'analyse de données, en incluant toutes formes de communication, le contenu intégral des emails, les appels cellulaires, les recherches internet, aussi bien que toutes les données personnelles, comme les tickets de parking, les itinéraires de voyage, les achats de livres et autres médias digitaux"